A la conquête du "hors d'eau"
Une fois les fermettes mises en place, il a fallu placer entre elles des étrésillons (ou entretoises) pour qu'elles ne se déforment pas et pour les contreventer. Voici ceux qui viennent au niveau de la faîtière.
Ensuite, on a mis en place les "jambes d'Albert", qui permettent de mieux structurer et solidariser l'ensemble fermettes + ossature.
Ici, ce sont les débords de toiture des pignons qui vont être bardés par la suite.
Et on arrive à l'étape symbolique du "hors d'eau" : mise en place du pare-pluie et du contre-litelage qui permet de le maintenir et de laisser une respiration sous les gros liteaux sur lesquels vont se poser les tuiles. Dans notre cas, on ne pose pas du tout de volige...
Et nous voilà à l'abri de l'eau... et du soleil !
"Et pourquoi vous avez peint le toit ?", demande Margot...
Ensuite, on a mis en place les "jambes d'Albert", qui permettent de mieux structurer et solidariser l'ensemble fermettes + ossature.
Ici, ce sont les débords de toiture des pignons qui vont être bardés par la suite.
Et on arrive à l'étape symbolique du "hors d'eau" : mise en place du pare-pluie et du contre-litelage qui permet de le maintenir et de laisser une respiration sous les gros liteaux sur lesquels vont se poser les tuiles. Dans notre cas, on ne pose pas du tout de volige...
Et nous voilà à l'abri de l'eau... et du soleil !
"Et pourquoi vous avez peint le toit ?", demande Margot...