La tuile !
Enfin la voilà, la protection définitive contre la pluie qui mouille la paille.
Il y en a même qui trouvent le moyen de faire des pompes tout là-haut.
Une fois ces préléminaires accomplis, c'est un jeu de légo, et alors ça va vite. Tout est déjà sur place.
Et y'a plus qu'à...
Et la première (et plus grosse) partie est faite.
Et on enchaîne sur l'appentis : calculs, liteaux, cordex, acheminement des tuiles...
Le plus long et le plus minitieux est la pose des liteaux sur lesquels vont s'asseoir les tuiles. Il s'agit de tuiles romanes à emboîtement mécanique, qui n'acceptent que quelques millimètres de jeu par tuile. Si les calculs sont imprécis, ces quelques millimètres se transforment en centimètres et on n'arrive plus à les chausser ensemble. Donc, une fois ces calculs effectués, il faut mettre en place les liteaux, vérifier rigoureusement la distance entre eux, avant de tracer au cordex (corde imprégnée de poudre à tracer qui marque la ligne souhaitée en la tendant) l'emplacement de chaque colonne de tuiles.
Il y en a même qui trouvent le moyen de faire des pompes tout là-haut.
Ensuite, il faut monter les tuiles sur le toit. Pour cela, le tracteur et son lève-palettes nous ont bien servi.
Une fois ces préléminaires accomplis, c'est un jeu de légo, et alors ça va vite. Tout est déjà sur place.
Et y'a plus qu'à...
Et la première (et plus grosse) partie est faite.
Et on enchaîne sur l'appentis : calculs, liteaux, cordex, acheminement des tuiles...
... et tuilage.
Bon, il reste les finitions : rives (droites) et faîtières, mais on remet ça pour plus tard, on a d'autres occupations d'ici-là.